Mon voeu le plus cher pour 2013 ? Que l'on laisse enfin monsieur Meyer décider seul !

Publié le par Bernard Friedrich

2013, l'année la plus difficile du quinquennat, annonce notre gouvernement. Cela devrait suffire à occuper notre maire à mener de front les multiples missions qu'il s'est choisies. Cela devrait également suffire à remplir l'emploi du temps de ses adjoints et leur éviter de décider, à sa place, de ce qu'il doit faire en 2014.

 

Certes, nous avons cru voir dans ses dernières "largesses" les prémisses d'une campagne électorale au long cours dont le coût ne rentrera pas dans les comptes de campagne ; largesses forcément bienvenues, mais dont évidemment les concurrents ne peuvent jouer faute d'accès aux ressources municipales. Mais cela est-il suffisant pour que dès 2012 l'adjoint communication en chef nous annonce la probable candidature de monsieur Meyer en 2014, candidature dont le seul but serait un passage de relais rapide à l'adjoint Hemendinger ? Son omniprésence aux côtés du chef ces dernières années ne laisse planer de doutes sur son rêve. N'est-il pas, au fil des mois, passé de l'ombre à la lumière, allant jusqu'à accompagner celui-ci dans tous ses déplacements lors de la campagne pour les législatives ? Au point que les Colmariens étaient en droit de se demander à l'époque s'il y avait encore un pilote dans l'avion.

 

Il est facile de comprendre ce qui anime les membres de l'équipe en place : continuer à vivre tranquillement dans le système en place. Et pour cela, quoi de plus tentant que de "pousser" le berger à reprendre la tête du troupeau pour une nouvelle mandature; puis de lui suggérer de pérenniser la situation actuelle en cédant la place à un poulain tellement marqué par son style qu'il lui faudrait une sacrée personnalité pour s'en affranchir.

 

On peut bien évidemment s'interroger sur le rôle de monsieur le maire dans cette annonce. Ne s'agirait-il pas une fois encore d’une manœuvre pour sonder les cœurs ? Possible, mais pas obligatoirement. Peut-être, comme tout un chacun, aspire-t-il à une vie nouvelle ? Qui sait…

 

Monsieur Meyer devrait pourtant se méfier de ces bons conseilleurs qui ne lui ont pas toujours porté chance par le passé et de ces tactiques ambigües visant à nous faire croire qu'il "n'agit que poussé par certains " ou qu'il n'est pour rien dans certaines initiatives malheureuses. Nous pourrions finir par penser qu'il lui faut absolument des éminences grises pour se décider et qu'au bout du compte il n'est que bon gestionnaire (ce qui est d'ailleurs très bien pour nous), rôle qu'il aurait pu assumer comme adjoint aux finances.

 

A force de ne penser qu'à leur situation personnelle, les conseilleurs finiront par le mener à sa perte en lui faisant endosser leurs erreurs : chacun se souvient comment ils lui avaient prédit une large victoire aux législatives, personne n'a oublié l'intermède des "redevables de la Légion d'Honneur" qui aurait pu être cocasse s'il n'avait porté atteinte à la crédibilité de cette institution. Et personne n'a oublié ses déclarations : « certains maires m'ont poussé à intervenir... »  (Conseil Unique) alors que visiblement il n'avait aucune envie de rentrer dans le débat du siège accordant à juste titre son attention aux questions du pour quoi faire.

 

Monsieur Meyer a eu une carrière bien remplie et une trajectoire qui pourrait servir d'exemple à bien des membres de son entourage.  Mais cela n'est pas une raison pour lui dispenser en permanence des conseils dont la finalité est de perpétuer les errements actuels .Toute organisation a besoin de changement pour croître . Et comme disent certains "le changement c'est maintenant"....

 

Si le maire-adjoint préféré veut être Maire de Colmar, qu'il présente SEUL sa candidature, le cas échéant contre Meyer.  Les Colmariens n'ont que faire d'un Meyer de substitution.

 

Bernard FRIEDRICH

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M
M. Friedrich,<br /> <br /> Je vous remercie pour vos voeux que je considère, peut-être à tort, comme pure formalité de votre part, car il me semble savoir que nous n'avons pas de relations autres que qu'épistolaires et pas "<br /> très amicales " en prime pour rester courtois.<br /> <br /> Donc je vous retourne les miens, de voeux, mais au même titre. Ni plus, ni moins. Au moins les choses seront claires.<br /> <br /> Ce préambule posé, je relève que paradoxalement que vous reprochez à M. Meyer certains propos à l'encontre de personnalités alors que vous même reconnaissez refuser de lui serrer la main... ce qui<br /> à mon avis et en conrformité avec l'éducation citoyenne reçue de feux mes parents me semble exactement du même niveau. Et est à mon avis encore bien plus grave eu égard à vos anciennes<br /> responsabilités et de l'exemplarité que l'on piourrait être en droit d'attendre de votre part en matière de civilités...<br /> <br /> Ensuite recenser, même brèvement, les " erreurs " passées ne fera en rien s'améliorer la situation . Alors qu'avec un minimum de bonne volonté il y aurait sûrement mieux à faire de votre énergie en<br /> la canalisant de manière positive me semble t'il.<br /> <br /> Traiter comme vous le faites quelqu'un de " parvenu ", même lorsqu'il s'agit d'une personne pour laquelle on peut ne pas avoir la moindre sympathie est pour le; moins facile et même insultant tout<br /> en n'étant pas très valorisant pour son auteur, ici vous, qui sauf erreur de ma part a au fil des ans et grâce à l'avancement quasi automatique tant d'échelon que de grade atteint son niveau<br /> actuel. mais là n'est pas le sujet qui nous intéresse.<br /> <br /> Que cette même personne soit, à vos yeux, arriviste est un autre débat (car chacun sait que G. Meyer est arrivé là où il est grâce à un travail personnel acharné et unanimement reconnu) et ce<br /> jugement transpire d'une certaine manière comme une forme d'envie, de jalousie malsaines ou même de regret de n'avoir pas pu, à un moment de votre vie, en faire autant, statut d'officier<br /> oblige.<br /> <br /> Votre détestation du Maire frôle l'obsession tant elle devient et même est permanente, et ne m'intéresse pas.<br /> <br /> Personnellement, en tant qu'administré et accessoirement aussi modeste contribuable ce qui m'intéresse en premier chef, vu les circonstances économiques actuelles, c'est à la fois la qualité de vie<br /> dans notre ville mais aussi la fiscalité locale et notre/mon pouvoir d'achat. Or à ce niveau je n'ai pas l'impression que qui que ce soit puisse adresser le moindre reproche à notre Maire.<br /> <br /> Votre réflexion concernant l'opposition appelle de ma part quelques remarques, personnelles, bien entendu.<br /> <br /> La première est que ce n'est pas en prenant<br /> systématiquement le contrepied de ce qui est proposé par la majorité que l'on fait avancer quoi que ce soit. C'est évident et même flagrant notamment par le comportement de cette dernière et ses<br /> propos souvent peu amènes.<br /> La seconde est qu'en s'y prenant autrement, c'est à dire en étant moins vindicatif, plus constructif et plus force de proposition que d'opposition on peut sûrement mieux arriver à se faire<br /> entendre, à faire discuter ses idées et ensuite même les voir acceptées. Encore faut-il être prêt à et vouloir le faire.<br /> La troisième est aussi que ce n'est pas en invectivant par des propos aussi crus que discourtois les collaborateurs du maire, ses Adjoints et Conseillers que vous allez provoquer la moindre envie<br /> d'adhésion à vos idées car bien trop manichéennes... La où vous voyez " un berger et des moutons " je verrais plutôt un chef qui sait prendre des décisions quand il le faut, quitte à déplaire, car<br /> dès lors que l'on prend une décision, il est impossible de faire l'unanimité..<br /> Etc... , etc...<br /> <br /> Oubliez donc Clausewitz et préférez Sun Tsu... L'issue en est toujours plus " noble ".<br /> <br /> Un homme de votre âge et de votre expérience devrait sans difficulté aucune pouvoir s'en convaincre, j'espère.<br /> <br /> Contrairement à ce que vous croyez savoir à mon sujet, je tiens, histoire de lever toute équivoque, à vous informer que je n'ai pas de certitudes, mais des convictions et des valeurs oui. Et que<br /> j'y tiens. Nuance.<br /> <br /> Pour revenir à M. Hemedinger, et vous fais remarquer je n'ai jamais écrit que vous aviez peur de l' "affronter " car d'une ce serait un raccourci auquel je ne me risuerais pas, et de deux, je ne<br /> pense pas que pour vous le fait d'aller à sa rencontre puisse se résumer à un affrontement, à moins de faire preuve d'a priori négatifs voire vindicatifs.<br /> <br /> Mais une fois encore je vous suggère de revoir votre position au sujet d'une rencontre qui même si elle devait se terminer en clash aurait au moins eu le mérite de vous permettre de discuter les<br /> yeux dans les yeux et non par médias, tiers ou autres interposés. Qui plus est vous auriez au moins saisi la chance de vous forger votre propre opinion à son sujet et non d'être influencés par des<br /> on-dit... ou des préjugés aussi trompeurs qu'erronés.<br /> <br /> Il me semble aussi que la démocratie et le fonctionnement de certaines de nos institutions vous posent problème.<br /> <br /> Si G. Meyer était réélu et que pour quelques raisons que ce soit, était amené à se retirer prématurément, je ne vois pas pourquoi, comme le prévoient les textes, ce ne serait pas le Premier Adjoint<br /> qui assurerait le relais et endosserait ensuite en toute légitimité les responsabilités de Maire....<br /> <br /> Et pour conclure, contrairement à vous je ne terminerais pas par une blague, car je suis de ceux qui pensent que la saine gestion d'un ville, en l'occurrence Colmar, mérite plus qu'une blague, même<br /> belge... mais par un message définitif à votre attention :<br /> <br /> " Inutile de me répondre car devant votre refus de dialogue et votre obsession pathologique à faire feu de tout bois et en permanence sur la majorité municipale, comme je ne suis ni psychanaliste<br /> et encore moins Freud, votre cas m'apparaît comme désespéré. "<br /> <br /> Bon rétablissement.<br /> <br /> Jean-Marie Morère
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B
<br /> <br /> Monsieur, ceci constitue mon dernier échange avec vous. Votre admiration sans bornes pour mon ennemi vous rend au moins aussi aveugle que je puis l’être. Au point que je ne peux que m’interroger<br /> sur l'origine de votre servilité : de quoi lui êtes vous donc redevable pour ne lui connaître que des qualités ? Vous êtes un cas unique en la matière ; alors que je ne fais qu’énoncer, peut-être<br /> avec excès, que des vérités partagées même par des personnes de son entourage immédiat. Oui j'en connais...et même intimement, qui ne le servent que par intérêts. Ils ont, pour certains même<br /> l'honnêteté de reconnaitre que ce n'est pas le service de Colmar qui les motive, d’autant moins qu'on ne leur demande jamais leur avis. Un seul exemple à méditer et qui nous coûte cher : Colmar<br /> compte un sureffectif de 2 à 3 adjoints par rapport au passé alors même que rien ne justifie cela au regard de la population ou de l’intercommunalité. Mais il fallait bien acheter et récompenser<br /> quelques béni oui oui!<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Simplement deux ou trois commentaires : le fait que je refuse de saluer sa majesté même en public (et cela s'est déjà produit) n'est en rien comparable avec son mépris à l'égard du préfet ou du<br /> député qu'il avait invité et qui dans la hiérarchie républicaine lui sont supérieurs. Mon attitude est justifiée, certes par un manque de correction (mais je ne dois rien à Meyer que je paie)<br /> mais surtout en raison de sa grave entorse aux règles du protocole: la place du maire passe après celle de la défense nationale dont le DMD est le personnage local, personnage dont les<br /> compétences et les responsabilités se situent en cas de besoin au niveau du préfet et non de Mr MEYER (cet homme est bien un parvenu irrespectueux de la loi, loi qui ne m'impose nullement de lui<br /> serrer la main).<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Désolé aussi de devoir vous décevoir pour ce qui concerne l'avancement en général pour ne pas aborder mon cas particulier : l’avancement, de plus en plus difficile pour réduction budgétaire ne se<br /> fait pas, à l'ancienneté. Une seule exception (de cdt à Lt colonel  passage de grade à 4,5 ou 6 ans d’ancienneté) qui explique comment des officiers sortis de grandes écoles peuvent  en<br /> 30 ans de carrières ne connaitre que 2 grades :Lt et cne car promouvoir un officier capitaine c'est en faire un lieutenant colonel susceptible de se voir confier des responsabilités qu'il serait<br /> incapable d'assumer . L'avancement se fait "au mérite" avec une notation réglementée annuelle, des concours tard dans la carrière et surtout l'exercice de responsabilités comportant des risques<br /> pour ceux que l'on commande. Ce qui monsieur Morère donne aux instructeurs et formateurs une responsabilité particulièrement importante en leur demandant de donner aux élèves les compétences<br /> indispensables SANS pour autant "casser" leur personnalité ou les inscrire dans un moule. N'oubliez pas non plus la solitude du CHEF qui va envoyer ses hommes risquer leur peau. Rien à voir avec<br /> un décret municipal ou un budget pas équilibré. Et vous devez bien savoir que malgré ses responsabilités extraordinaires dans des contextes sortant de l'ordinaire le chef doit assumer les<br /> conséquences de ses décisions  avec d'autres conséquences que d'être mis au chômage grassement payé suite à une déconfiture électorale (non réélection!).<br /> <br /> <br /> Votre remarque concernant l'ancienneté pourrait éventuellement porter sur la promotion aux différents grades des ordres nationaux; mais vous pourrez remarquer qu'il est plus facile de décrocher<br /> cela chez les Verts ou à la mairie de Colmar. Dans les armées les règles sont strictes (notation, résultats dans l'emploi et postes de responsabilité plus actions de guerre pour les derniers<br /> temps).<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Inutile de reprendre la plume; nos avis sont trop opposés; j’ai toujours eu l'habitude de donner mon avis, le cas échéant de claquer la porte. Ce n'est pas un Meyer, bon comptable et perpétuel<br /> candidat avec ce que cela sous entend dans le comportement, qui me fera changer d'avis ou d’attitude. Et soyez tranquille : mes opinions il les connait bien.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> FRIEDRICH B<br /> <br /> <br /> <br />
M
Votre voeu le plus cher pour 2013 est pour le moins surprenant tant il est paradoxal parce que venant d'un de ceux dont les actuels amis politiques reprochaient à l'envi à M. Meyer de toujours<br /> décider seul... de ne pas écouter, de ne pas consulter et encore plus de ne pas tenir compte de l'avis d'autrui... Quel étrange revirement que voilà...<br /> <br /> Et si aujourd'hui ou demain M Meyer devait revenir à adopter ce que vous lui reprochiez pendant des années, il y a fort à parier que vous seriez parmi les premiers à hurler au loup. non ? Au nom de<br /> quelle cohérence ??<br /> <br /> Ensuite ce n'est pas parce ce que vous avez cru voir que "largesses" il y a ou il y aurait eu. Vos propos critiques à l'encontre de M. Meyer sont là encore fondés sur une interpétation pour le<br /> moins partisane et personnelle, surtout critique par principe et négative par définition...<br /> <br /> Ensuite quant à un hypothétique passage de relais au Premier Adjoint Hemedinger que visiblement pour des raisons qui sont vôtres, vous ne portez pas dans votre coeur, je me demande pourquoi au lieu<br /> de tirer à boulets rouges sur ce dernier et dépenser ainsi de votre précieuse énergie à gérer du négatif vous ne devriez pas plutôt prendre contact avec lui afin de lui exprimer en face vos griefs<br /> et ensuite en débattre de vive voix.<br /> <br /> Il me semble que ce serait nettement plus constructif et positif aussi que de pratiquer cette opposition systématique dont vous êtes, à vous lire, un inconditionnel. Et ce d'autant plus que je ne<br /> pense pas que M. Hemedinger soit inaccessible ou injoignable. Il suffit de s'en donner la peine.<br /> leurs intérêts,<br /> <br /> Il me semble aussi qu'il est de l'intérêt général pour des administrés d'avoir à la tête de leur Municipalité un maire qui soit un gestionnaire avisé et rigoureux, soucieux de le bonne gestion des<br /> deniers publics, surtout en ces périodes de régression du pouvoir d'achat et non un élu dépensier qui au nom d'un certain clientélisme électoral de circonstance s'autoriserait à dépenser sans<br /> compter ou presque.<br /> <br /> Quant à votre conclusion de circonstance, " le changement c'est maintenant " permettez-moi d'en, sourire, car je ne suis pas du tout, mais alors vraiment pas certain que tous ceux qui il n'y a pas<br /> si longtemps réclamaient à corps et à cri le changement ne s'en mordent pas les doigts aujourd'hui ou ne s'en mordront pas les doigts demain...<br /> <br /> Céder au chant des sirènes est souvent risqué... j'en veux pour preuve ce que vivent nos compatriotes actuellement.<br /> <br /> Salutations citoyennes.
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B
<br /> <br /> Monsieur Morère, je vous prie de bien vouloir accepter tous mes vœux pour l'année à venir. Il n'y a de raison à copier votre maire qui profite de ses vœux pour faire la leçon au représentant de<br /> l'Etat ou exprimer son mépris envers les électeurs en refusant de saluer Notre député marquant ainsi une fois encore son dédain du système démocratique et de son statut "hors la loi". Car de même<br /> qu'il souhaiterait être reconnu de tous les Colmariens, de même ces deux autorités jouissent des prérogatives et compétences liées à leur statuts respectifs de représentant de l'état et d'élus du<br /> peuple. Cet individu n'est qu'un arriviste fort en calcul  et d'un orgueil démesuré.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> S'il vous a semblé discerner dans mon propos certaines contradictions avec des prises de position antérieures, vous auriez aussi pu noter une certaine continuité dans le bref recensement<br /> d’erreurs passées qui n’étaient citées qu’à titre d’exemple. Le seul point où vous avez raison concerne le mépris dans lequel je tiens ce parvenu. Concernant mes changements d'opinion, celles-ci<br /> ne sont qu'apparentes: il n'y a à Colmar qu'un avis unique auquel les moutons de la majorité sont soumis pour obtenir au début une place sur la liste puis pour pouvoir désormais continuer à<br /> profiter des largesses du berger (ce qui pour vous est normal... alors que la valeur d'une bonne équipe réside dans sa capacité à fédérer des avis parfois divergents!). Je maintiens donc qu'il<br /> serait plus que temps que GM exprime SES volontés ou idées sans se cacher derrière la masse de son troupeau qui ne peut qu'approuver sous peine de fessée et dont certains plus lèche bottes et<br /> donc pas intelligents lui font parfois commettre de graves erreurs. Vous admettrez bien que l'opposition n'existe que parce que prévue par les textes!<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Ce qui me ferait bien plaisir serait de savoir d'où vous tirer cette idée que je n'ai pas le courage d'affronter un Meyer ou son ombre ? Comment pouvez vous prétendre ou laisser penser que<br /> j'aurais peur d'eux ; alors même qu'il m’arrive- en public - de refuser la main qu'ils tendent. Et dites moi aussi d'où vous viennent ces certitudes relatives à « mes amis », mes<br /> convictions politiques ou mon droit à exprimer crûment ce que je pense.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Je note d'ailleurs au travers de vos remarques relatives à mon opinion sur le 1° adjoint  que vous semblez partager une part de mes idées sur GM et conférer à l'adjoint des qualités qui<br /> feraient défauts au berger. Je l'espère et ce n'est pas bien difficile. Mais cela ne suffit pas à en faire un dauphin mis en place par l'artifice d'une démission. Si M. Hemedinger veut être<br /> maire, qu'il affronte, seul, les électeurs; contre GM s'il le faut, ce qui d'ailleurs serait pour lui l'unique manière de marquer son originalité. Je suis quant à moi intimement persuadé qu'une<br /> si longue course dans le sillage d'un potentat a effacé toute personnalité et gommé beaucoup des qualités qui, peut-être, existaient au départ. En X années de servilité monsieur Hemedinger n'aura<br /> jamais eu un avis divergent, une critique, une opinion personnelle.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Alors certes monsieur notre maire est un homme d’exception, un fin calculateur et tout ce qu'il vous plaira d’affirmer. Mais si vous voulez vous enrichir beaucoup, réfléchissez à cette blague<br /> belge amendée: "achetez un Meyer pour ce qu'il vaut et revendez le pour ce qu'il croit valoir! Vous ferez une bonne plus value !"<br /> <br /> <br /> <br />